• Attention à la bonne tenue du crayon :

    Lorsque nous écrivons, la flexion et l’extension du pouce est primordiale. C’est lui le « chef d’orchestre ». Il s’étire et permet au crayon de monter pour les lettres à hampe (ldt). Il se rétracte et fait descendre le crayon pour tracer les lettres à jambage (g, j, p, q, y, z).

    Lorsque nous écrivons, la flexion et l’extension du pouce est primordiale. C’est lui le « chef d’orchestre ». Il s’étire et permet au crayon de monter pour les lettres à hampe (l, d, t). Il se rétracte et fait descendre le crayon pour tracer les lettres à jambage (g, j, p, q, y, z).

     


    La commissure du pouce a également un rôle majeur. Le crayon se « repose » à la commissure du pouce et de l’index et les doigts doivent former un soleil*.
     

     

     

    Les muscles de la paume sont aussi impliqués car ils stabilisent la main pour que les muscles d’écriture (ceux qui bougent l’outil) travaillent sur une base stable. Parfois, un agrippement palmaire (réflexe archaïque non intégré) oblige à crisper sa main sur le crayon. Il s’agit alors de réintégrer le réflexe pour réduire voire éradiquer la crispation et libérer le geste. 

    * illustration issue de Outils pour bien écrire (cycles 2 & 3) - Magnard


    Tags Tags : , , , , , , ,
  • Commentaires

    Aucun commentaire pour le moment

    Suivre le flux RSS des commentaires


    Ajouter un commentaire

    Nom / Pseudo :

    E-mail (facultatif) :

    Site Web (facultatif) :

    Commentaire :